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Nathan le poèye

23 décembre 2018

Fêlure du cerveau Je me raconte une histoire dans

Fêlure du cerveau

Je me raconte une histoire dans la tête

Pour ne pas oublier le poids des années

Mais je rajeuni en m’oubliant même mon nom

Je suis l’enfant dans la pièce pourtant je suis la mère

Je me perds dans l’immensité de mes songes qui ne dure pas

Comme un coucher de soleil dans ma tête à L’infini, te rappelles tu

Fêlure d’une mémoire qui oublie même celui qui l’accompagne depuis quarante ans

J’oublie, je le vois bien mais je n’y peux rien. On m’a diagnostic cette maladie que personne ne veut

Je suis là à écrire pour me relire mais j’oublie de qui sa viens chaque jour, mon cerveau dégringole

J’en j’oublierai les senteurs de tout ce qui me rappelle être celle que je regarde dans le miroir

Bientôt on me montre les toilettes comme on les montres à un enfant de deux ans

Mon cerveau dérape et je vous quitte peu à peu sans délaissé mon corps, je serai que l’apparence

D’une vie qui s’oublie doucement comme les accords de ma mémoire qui germe la notion du temps

Devenir l’enfant dans l’oubli qui n’est vide juste confus à n’être seule dans l’illusion

Je me raconte une belle histoire               dans ma tête pour me souvenir de qui j’étais

J’étais qui en fait, vous êtes qui monsieur, vous êtes, vous………………………

Ma mère à faire pour 80 ans et je viens de la perdre ma meilleure amie

Comme un vieux disque rouiller qui saute en radotant le même refrain

Être là sans l’essence d’une vie qui s’en est allé laissant le vivre

Fêlure de l’âme qui a perdu tout reflet dans ces yeux qui s’y traduisait

On l’appelle Alzheimer et je m’en dors tranquillement

En restant éveiller comme l’enfant qu’on prend par la main

Au revoir dignement avant de m’évanouir dans ce corps

                   NBD

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23 décembre 2018

Nous sommes tous immigrants D’où qu’on vient! Une

Nous sommes tous immigrants

D’où qu’on vient! Une lanière de terre appelé la Terre

D’où qu’on vient? D’une langue qui chante la vie et cette diversité

 Je viens du ventre de ma mère qui m’a enfanté, dois-je y retourner

J’ai rencontré une personne qui personne sur un coin de rue qui hurlait

À deux inconnus (Vos gueules, ici, on parle français! Retourner dans vos pays de merdes!)

Si je m’abuse, nous sommes arrivés par bateau ou qu’on appelait ce monde (La nouvelle France)

On parle d’une nation québécoise mais elle n’est que rêve si on rejette l’origine du monde

Je viens de cette contrée qu’on appelle la Mauricie avec cette expression qu’on reconnaît

Comme ce lac St-Jean avec leur façon de parler si bien reconnu. Nous sommes bien confortables

Vous venez d’où? J’ai vue ce monde pour m’enrichir de sa beauté et des cultures qui y cohabite

Rentrer chez vous immigrants sans papier, rentrer dans vos demeures qui vous appartiennent

Tous immigrants d’un point de départ qui évolue comme la conscience qui se doit vouloir goûter

On peut bien se voir comme le nombril du monde et être une nation québécoise recluse de tout

Mais cette terre était celle des indiens qu’on a chassé pour s’y établir comme des conquérant

Nous sommes pauvre d’esprit qui rejette toute culture hors mi celle qui est le notre

Pourtant, on emprunte cette culture pour la façonner à notre image pour l’intégrée

Quel est ce pays si on enlève ces barrières imaginaires que l’homme impose par limitation

Question de l’identité, nous sommes une partie de chaque être rencontrés et affirmé de l’être

Tu viens d’où? De ma demeure qui est la connaissance de tout être qui se découvre par son chemin. Nous sommes un pays accueillant où que t’amène une richesse de ton cœur, de ton vécu, Nous venons d’où? Je viens de l’imaginaire qui me fait écrivain! Il vient de loin

Nous sommes tous immigrants si on change à chaque jour de paysage si on aime apprendre

J’ai fait ce voyage autour du monde pour m’imprimer de chaque culture qui demeure en moi

Mémoire d’un voyageur, mémoire de celui qui crie dans la rue (nation québécoise, nation sans

Immigrants exclusivité de partir) l’ouverture de l’esprit est la plus grande de toutes les richesses

Immigrés de son corps pour comprendre ce que nous somme, des êtres capables d’ouverture

La nation québécoise est un fait mais sans frontières pour croire qu’on est mieux
je viens de ce tableau et maintenant je suis ici pour apprendre, comprendre les nations

Le peuple est celui de la terre et il y a une très belle région qu’on appelle le Québec

Nous sommes tous immigrants du simple fait

Qu’on se déplace pour vois plus loin

Que nos yeux

                         NBD

23 décembre 2018

L’exemple L’exemple de soi ou à autrui Pour

L’exemple

L’exemple de soi ou à autrui

Pour traduire une référence juste de ce dialogue

Mais qu’est-ce que la bonne situation pour donner le bon exemple

On espère toujours être le reflet de nos idéaux et on cite le passé

Plein d’exemple main demeurent pas moins la tournure de l’esprit

Le mal, des massacres et de la torture, voici l’exemple qu’on peut chercher

L’exemple du bien est dans nos yeux de chaque jour pour le bien en continue

Contre-exemple pour défaire croire qu’on est anti de tout, le dû nous est

L’exemple est commun mais faut le saisir pour en comprendre comme un prophète

On peut bien citer tous les exemples du monde mais si on refuse le changement en nous

Si on ne veut que l’exemple qui nous convient à quoi bon en citer ou que le votre

Exemple de l’ignorance, l’homme est bon car ils ne prennent pas assez exemple sur le passé

Question de référence, on peut lire le passé comme un ode à ceux qui ont été courageux

Avant-première de ce fait d’arme qui concerne l’exemple évoqué pour transmettre un message

L’exemple des mots est plus symbolique qu’un être charnière car les mots non pas de couleur

Donner aux regards la marche à suivre pour y comprendre à sa façon l’exemple cité

Comme une mauvaise référence des mots qui s’y traduise ainsi selon ce qu’on veut appliquer

Je ne suis que mes mots qui marchent ensemble démontrant une certaine logique

À prendre ou à délaisser, on peut bien prendre qui nous convient, aboyer de ce que l’on veut

Je ne démontre rien juste des mots qui forment un tout à nos yeux qui lissez

Regardant à montrer l’exemple pour tous comme un Dieu qui dit de s’aimer comme des frères

On prend l’exemple sur qui ou sur quoi, une référence pour prendre acte de nos choix

De soi, j’écris ce que je pense pour en prendre l’essence de mes propres pensées

Acte du moment présent qui reste sur une feuille qui pourrait traverser l’exemple du temps

Suis-je l’exemple de ma vie pour décider l’exemple que je donne

On peut citer tous les exemples du monde mais c’est à nous de choisir

L’exemple des mots ou l’exemple individuel qui est juste là

À s’y méprendre je ne suis pas l’exemple à suivre, on cite mes qualités

Svp ne pas prendre exemple sur mais sur les mots

De ma conscience

                       NBD

23 décembre 2018

Trauma Étendu, inerte à la vie, victime d’un

Trauma

Étendu, inerte à la vie, victime d’un trauma

Le cerveau en dérive d’un corps en état de choc

Qui se veut une déconnection des séances qui l’afflige

Un temps de mort pourtant nous sommes là à quelque part

Comme un long rêve endormi qui durera le temps au temps

Trauma comme une cassure qui demandera du temps à guérir

Le cerveau déconnecté de ce visage, plonger dans une autre dimension

Qui se lit sur les machines qui te maintienne en vie comme cette ligne

Ou que le cœur fonctionne au ralenti comme un cri désespéré pour survivre

Le trauma d’un corps sans vouloir j’ai sauté la clôture et me voici, ainsi

Le temps inconscient ressemble à la poussière des étoiles pour en vrai

Des mois pourraient s’écouler avant que je revienne de ce voyage causer par

Le cerveau qui délire parmi ces milliards de neurones en pagaille du au choc

Le cœur bat mais le cerveau en perdition comme un vaisseau fantôme

On filtre l’activité sur une machine qui filtre le moindre signe de ta part

Mais le cerveau demeure inconnu comme les mystères qui nous obsède

Le traumatisme arrive quand on flirte avec la vie, sensation forte qui bat la chamaille

Trauma d’une scène qui traumatise sans réserve qui se propage en nous

Il y a de ces scènes qui traumatise tout une vie pour se rappeler que nous sommes précieux

Mais, toi, à l’arrête de ton école rentrant à la maison pour souper sans plus

Sa fait deux mois qu’on t’attend mais question qui demeure, sera-tu encore toi

Le cerveau mystérieux de toute science avec ces milliers de possibilité d’adition

Qui s’échoue sur le rivage et on peut qu’attendre ton réveille de ce long chemin

Traumatisme collective car sa bouscule des vies et on vit un traumatise d’une autre ampleur

Des images qui ne s’oublieront jamais, c’est ça le pire, je crois et se souvenir

Trauma d’une coupure et le sang coule comme une mère qui donne naissance

Ce jour-là, plusieurs traumas ont été causé comme un domino qui tombe

L’effet du cœur qui s’arrête qui repart, une ambulance qui passe e, fanfare

On m’a appelé pour me le dire et le traumatise grossi avec ceux qui accoure

Non, ce n’est qu’une coupure de courant et le corps réagis aussitôt

Tu es sous aspirateur artificielle, quand savoir te débrancher mon enfant

Trauma d’une simple coupure et le corps se défend automatiquement

Pulsion de notre corps qui veut vivre mais parfois l’esprit s’effondre

L’histoire est déjà au passé mais dans les fais, le traumatise demeure

Demeure comme une rupture du temps qui nous replonge dans l’état de choc

On m’a raconté les évènements qui ont pris du temps à atteindre le cerveau

L’autre, je ne peux lui en vouloir car, il courait voir la plus belle chose au monde

Fatalité une vie pour une vie, la vie est cruelle parfois mais ce si est mon traumatisme

Ils fonçaient à l’hôpital pour voir l’amour mettre au monde, en chemin, il en à faucher une vie

Ce fait frais en mémoire pourtant sa remonte à

40 ans

           NBD

23 décembre 2018

L’instant d’avant La mémoire actuelle de ce

L’instant d’avant             

La mémoire actuelle de ce présent futur

Des pas dans cette neige qui tombent comme une valse

Axer sur ce qu’on vit de ces yeux qui film sans arrêt pour en retenir quoi

On voit, on film d’un cerveau qui en retient, mémoire passé sélective

L’instant qui se présence devant nous comme un flocon qui tombe

Pourtant, et si inversait cette marche, flashback sur le passé, souvenir

Quand la neige tombera sur ces nuages pour l’alimenter, il neige dans les nuages

Je recule aux lieux d’avancer. Le cœur recule comme une horloge détraquée

La mémoire me fait reculer de la première à la dernière casse, je me retrouve au début

L’instant d’avant comme on dit mais entrevoir cela me terrifie, pourquoi suis-je ici

La mémoire en suspens de cette réalité qui m’agite de comprendre, de réaliser

Le choc à été violent et je m’échappé doucement sur la pointe des pieds

La mémoire me fait défaut si ce que matin voulait me retenir sans filet

Pourtant l’instant est d’avant mais ma mémoire veut revivre l’instant d’avant

Le cœur en état d’âme bat de côté à vrai dire et la neige remonte au ciel

Comme si on reculait une vielle VHS dans son moniteur pour revoir cette scène

L’instant d’avant comme un regarde immédiat sur le passé, le système nerveux en alerte

Et la mémoire reste coller à cette réalité traumatisante, en fait ça l’est

Le passé immédiat peut faire des ravages comme voir quelques choses de saisissant

Qui frappe, qui dérange, parfois on vit dans deux temps inégaux qui laisse le corps vide

L’esprit vagabond et le corps va l’avant sans trop comment

On pourrait voir la neige retourner dans les nuages,

Pourtant, on appelle ça, le passé immédiat

                                     NBD

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23 décembre 2018

A d’aile d’avion Rêver de là-haut comme un grand

A d’aile d’avion

Rêver de là-haut comme un grand silence

Planer comme le vent qui suit les courbes des nuages

Être là comme un être légitime qui ne sent rien juste ce calme

J’ai étendu mes ailes pour me suspendre au gré du vent qui valser

Hirondelle mécanique ou que le rêve nous berce en évasion de la réalité

Ailée pour se nicher là-haut comme une comète qui frôle la courbe de l’azure

Pour s’arracher le corps de toute vitalité ou qu’on ne plane continuellement de désir

Nue de ce qui nous rattache de cette terre un surpoids de contrainte dû à la condition physique

Un corps ce n’est qu’un navire parmi les centaines de naufrage qui se trame dans ce monde

Attention fusée en approche certains rêvent du néant sidéral à la recherche d’une planète

Mais moi, je transforme le ciel en mon terrain de jeux vaste et coloré quand le soleil s’endort

Citée dans les nuages, exile de ceux qui ne regarde plus avec des yeux nicher avec un rêve à transmettre

À aile d’une Coulomb pour amener cette paix dans ces lieux inconnus qui demeure un lieux d’évasion

A d’aile d’avion pour aller voir ce paradis ou que les hommes sont frères comme ceux qui ont su voler

On a rêvé du ciel, maintenant faudrait rêver de la terre avant qu’elle sombre sous les déchets

A queue d’avion je trainerais un message d’espoir quant à faire le tour du monde avec mon avion solaire

Eh bien oui solaire comme une énergie qui pompe le cœur de nos sentiments quand on décolle

Je serais quelqu’un qui ira là-haut pour chasser les nuages d’un rêve à l’autre pour regarder simplement

D’aile on grimpe pour y voir une boule bleue dans l’encre noire parmi les étoiles qui nous invite

Être un grand Concord, seigneur du vent, puissant et volage qui plane sur l’hymne du vent

Dans un éco des cœurs qui écoute de là-haut pour guetter sa prochaine proie et parfois faut couper le vent fort et fière comme un matin qui attendri nos visages comme une mère de toute vie

À d’aile d’avion je m’assis sur ma branche d’arbre, et je rêve de m’envoler parmi les anges

Ou que ma maman vit parmi la cité des anges ou le vent nous promet pour être réunis

A aile de plume pour sentir le vent de tout mon corps vibrer avec lui, avec qu’un

Assis sur ma branche d’arbre, je rêve à tout ça, à une liberté qui déploie ces ailes

Pour une liberté d’un rêve qui saura jamais dépasser car le ciel m’appelle d’un coucher de soleil

Dans ce silence, je verrai l’immensité de ce monde pour en être témoin de cette liberté

Jadis confier à la confiance, aujourd’hui aux lois qui nous dépouille de notre humanité

A aile d’avion seule lieux ou que l’imaginaire à encore le dessus

Je rêve de liberté justice et d’aventure, aile j’irais

À aile de mes deux mains

              NBD

23 décembre 2018

Bouddha Il est dit que l’intérieur est sans

Bouddha

Il est dit que l’intérieur est sans limite

Que la conscience établie soit celle qui dort

Bouddha cherchait en lui à éveiller sa conscience à l’éveille

Que toutes réponses sont en nous d’une force à concevoir pour établir ce degré

De conscience qui devrait émerger en nous pars les déviantes de notre âme

Chercher en nous pour trouver la lumière pure de raison et s’y détacher de son corps

Comme une croyance qu’on est oiseau de lumière capable de quitter ce corps de sable

De la magnitude à se comprendre dans cette corp pour élever sa compréhension sur tout

Le contact spirituel sur le non verbal peut tout briser en nous pour s’envoler sur l’azure

Se questionner, c’est d’enrichir son âme à voir plus grand que l’état de fait, l’état matériel

Cherchant à quitter son corps qu’est-ce qu’on y trouve si ce n’est que cette paix qu’on cherche

Et si toute cette question sur l’âme était en nous, éveiller son esprit à l’état supérieurs

Cherchant en nous-même l’état conscient pur pour y comprendre l’évolution de la lumière

Le cerveau de l’être ne marche qu’à la première dix pourcents et si on pouvait le débloquer

Pour atteindre un autre stade de réflexion pour approuver le genre humain de cet état de fait

Comme ces statues de chair et de sang, immobile dans le vent qui cherche cette sagesse

Développer l’intérieur pour maîtriser l’esprit qui se divise comme autant de possibilités

Établir en nous ce pont pour s’y trouver, sortir de son corps pour n’être que le vent

L’esprit sur la matière, l’esprit dans l’imaginaire des possibilités d’une force à trouver

Bouddha n’était pas un Dieu mais savait-il des choses, savant de la vie, un illuminé

Avec son gros ventre parcourant le monde à la recherche de l’éveil dans chacun de nous

Comme si une part de nous était mystérieuse et a découvre que par sa force vitale

Séparant le sang de la lumière qui sommeil en nous à développer avec la conscience

La lumière n’a aucune limite que si on délaisse nos barrières si humaines

Est-ce que la connaissance à le prix de l’or, le prix de la matière qui n’est que passager

Jusqu’ou l’esprit à de l’emprise quand, on le contrôle parfaitement

Cette question demeure en chacun de nous

                         NBD

23 décembre 2018

Première étape

Bonjour à tous

 

Je me nomme Nathan Blais-Durand, j'ai 35 ans et je suis écrivain depuis mes 15 ans donc, j'ai du stock en masse! J'ai aussi des romans que je metterais par bout.

je suis atteint d"une paralysie cérébrale qui affecte grandement ma parole. Mes textes sont des songes, histoire et des points vue. Je considère que chaque personne à son point vue! En espérant que vous aimerez ce que vous lirez ici!

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