Bouddha Il est dit que l’intérieur est sans
Bouddha
Il est dit que l’intérieur est sans limite
Que la conscience établie soit celle qui dort
Bouddha cherchait en lui à éveiller sa conscience à l’éveille
Que toutes réponses sont en nous d’une force à concevoir pour établir ce degré
De conscience qui devrait émerger en nous pars les déviantes de notre âme
Chercher en nous pour trouver la lumière pure de raison et s’y détacher de son corps
Comme une croyance qu’on est oiseau de lumière capable de quitter ce corps de sable
De la magnitude à se comprendre dans cette corp pour élever sa compréhension sur tout
Le contact spirituel sur le non verbal peut tout briser en nous pour s’envoler sur l’azure
Se questionner, c’est d’enrichir son âme à voir plus grand que l’état de fait, l’état matériel
Cherchant à quitter son corps qu’est-ce qu’on y trouve si ce n’est que cette paix qu’on cherche
Et si toute cette question sur l’âme était en nous, éveiller son esprit à l’état supérieurs
Cherchant en nous-même l’état conscient pur pour y comprendre l’évolution de la lumière
Le cerveau de l’être ne marche qu’à la première dix pourcents et si on pouvait le débloquer
Pour atteindre un autre stade de réflexion pour approuver le genre humain de cet état de fait
Comme ces statues de chair et de sang, immobile dans le vent qui cherche cette sagesse
Développer l’intérieur pour maîtriser l’esprit qui se divise comme autant de possibilités
Établir en nous ce pont pour s’y trouver, sortir de son corps pour n’être que le vent
L’esprit sur la matière, l’esprit dans l’imaginaire des possibilités d’une force à trouver
Bouddha n’était pas un Dieu mais savait-il des choses, savant de la vie, un illuminé
Avec son gros ventre parcourant le monde à la recherche de l’éveil dans chacun de nous
Comme si une part de nous était mystérieuse et a découvre que par sa force vitale
Séparant le sang de la lumière qui sommeil en nous à développer avec la conscience
La lumière n’a aucune limite que si on délaisse nos barrières si humaines
Est-ce que la connaissance à le prix de l’or, le prix de la matière qui n’est que passager
Jusqu’ou l’esprit à de l’emprise quand, on le contrôle parfaitement
Cette question demeure en chacun de nous
NBD