Trauma Étendu, inerte à la vie, victime d’un
Trauma
Étendu, inerte à la vie, victime d’un trauma
Le cerveau en dérive d’un corps en état de choc
Qui se veut une déconnection des séances qui l’afflige
Un temps de mort pourtant nous sommes là à quelque part
Comme un long rêve endormi qui durera le temps au temps
Trauma comme une cassure qui demandera du temps à guérir
Le cerveau déconnecté de ce visage, plonger dans une autre dimension
Qui se lit sur les machines qui te maintienne en vie comme cette ligne
Ou que le cœur fonctionne au ralenti comme un cri désespéré pour survivre
Le trauma d’un corps sans vouloir j’ai sauté la clôture et me voici, ainsi
Le temps inconscient ressemble à la poussière des étoiles pour en vrai
Des mois pourraient s’écouler avant que je revienne de ce voyage causer par
Le cerveau qui délire parmi ces milliards de neurones en pagaille du au choc
Le cœur bat mais le cerveau en perdition comme un vaisseau fantôme
On filtre l’activité sur une machine qui filtre le moindre signe de ta part
Mais le cerveau demeure inconnu comme les mystères qui nous obsède
Le traumatisme arrive quand on flirte avec la vie, sensation forte qui bat la chamaille
Trauma d’une scène qui traumatise sans réserve qui se propage en nous
Il y a de ces scènes qui traumatise tout une vie pour se rappeler que nous sommes précieux
Mais, toi, à l’arrête de ton école rentrant à la maison pour souper sans plus
Sa fait deux mois qu’on t’attend mais question qui demeure, sera-tu encore toi
Le cerveau mystérieux de toute science avec ces milliers de possibilité d’adition
Qui s’échoue sur le rivage et on peut qu’attendre ton réveille de ce long chemin
Traumatisme collective car sa bouscule des vies et on vit un traumatise d’une autre ampleur
Des images qui ne s’oublieront jamais, c’est ça le pire, je crois et se souvenir
Trauma d’une coupure et le sang coule comme une mère qui donne naissance
Ce jour-là, plusieurs traumas ont été causé comme un domino qui tombe
L’effet du cœur qui s’arrête qui repart, une ambulance qui passe e, fanfare
On m’a appelé pour me le dire et le traumatise grossi avec ceux qui accoure
Non, ce n’est qu’une coupure de courant et le corps réagis aussitôt
Tu es sous aspirateur artificielle, quand savoir te débrancher mon enfant
Trauma d’une simple coupure et le corps se défend automatiquement
Pulsion de notre corps qui veut vivre mais parfois l’esprit s’effondre
L’histoire est déjà au passé mais dans les fais, le traumatise demeure
Demeure comme une rupture du temps qui nous replonge dans l’état de choc
On m’a raconté les évènements qui ont pris du temps à atteindre le cerveau
L’autre, je ne peux lui en vouloir car, il courait voir la plus belle chose au monde
Fatalité une vie pour une vie, la vie est cruelle parfois mais ce si est mon traumatisme
Ils fonçaient à l’hôpital pour voir l’amour mettre au monde, en chemin, il en à faucher une vie
Ce fait frais en mémoire pourtant sa remonte à
40 ans
NBD