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Nathan le poèye
23 décembre 2018

Trauma Étendu, inerte à la vie, victime d’un

Trauma

Étendu, inerte à la vie, victime d’un trauma

Le cerveau en dérive d’un corps en état de choc

Qui se veut une déconnection des séances qui l’afflige

Un temps de mort pourtant nous sommes là à quelque part

Comme un long rêve endormi qui durera le temps au temps

Trauma comme une cassure qui demandera du temps à guérir

Le cerveau déconnecté de ce visage, plonger dans une autre dimension

Qui se lit sur les machines qui te maintienne en vie comme cette ligne

Ou que le cœur fonctionne au ralenti comme un cri désespéré pour survivre

Le trauma d’un corps sans vouloir j’ai sauté la clôture et me voici, ainsi

Le temps inconscient ressemble à la poussière des étoiles pour en vrai

Des mois pourraient s’écouler avant que je revienne de ce voyage causer par

Le cerveau qui délire parmi ces milliards de neurones en pagaille du au choc

Le cœur bat mais le cerveau en perdition comme un vaisseau fantôme

On filtre l’activité sur une machine qui filtre le moindre signe de ta part

Mais le cerveau demeure inconnu comme les mystères qui nous obsède

Le traumatisme arrive quand on flirte avec la vie, sensation forte qui bat la chamaille

Trauma d’une scène qui traumatise sans réserve qui se propage en nous

Il y a de ces scènes qui traumatise tout une vie pour se rappeler que nous sommes précieux

Mais, toi, à l’arrête de ton école rentrant à la maison pour souper sans plus

Sa fait deux mois qu’on t’attend mais question qui demeure, sera-tu encore toi

Le cerveau mystérieux de toute science avec ces milliers de possibilité d’adition

Qui s’échoue sur le rivage et on peut qu’attendre ton réveille de ce long chemin

Traumatisme collective car sa bouscule des vies et on vit un traumatise d’une autre ampleur

Des images qui ne s’oublieront jamais, c’est ça le pire, je crois et se souvenir

Trauma d’une coupure et le sang coule comme une mère qui donne naissance

Ce jour-là, plusieurs traumas ont été causé comme un domino qui tombe

L’effet du cœur qui s’arrête qui repart, une ambulance qui passe e, fanfare

On m’a appelé pour me le dire et le traumatise grossi avec ceux qui accoure

Non, ce n’est qu’une coupure de courant et le corps réagis aussitôt

Tu es sous aspirateur artificielle, quand savoir te débrancher mon enfant

Trauma d’une simple coupure et le corps se défend automatiquement

Pulsion de notre corps qui veut vivre mais parfois l’esprit s’effondre

L’histoire est déjà au passé mais dans les fais, le traumatise demeure

Demeure comme une rupture du temps qui nous replonge dans l’état de choc

On m’a raconté les évènements qui ont pris du temps à atteindre le cerveau

L’autre, je ne peux lui en vouloir car, il courait voir la plus belle chose au monde

Fatalité une vie pour une vie, la vie est cruelle parfois mais ce si est mon traumatisme

Ils fonçaient à l’hôpital pour voir l’amour mettre au monde, en chemin, il en à faucher une vie

Ce fait frais en mémoire pourtant sa remonte à

40 ans

           NBD

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