Nous sommes tous immigrants D’où qu’on vient! Une
Nous sommes tous immigrants
D’où qu’on vient! Une lanière de terre appelé la Terre
D’où qu’on vient? D’une langue qui chante la vie et cette diversité
Je viens du ventre de ma mère qui m’a enfanté, dois-je y retourner
J’ai rencontré une personne qui personne sur un coin de rue qui hurlait
À deux inconnus (Vos gueules, ici, on parle français! Retourner dans vos pays de merdes!)
Si je m’abuse, nous sommes arrivés par bateau ou qu’on appelait ce monde (La nouvelle France)
On parle d’une nation québécoise mais elle n’est que rêve si on rejette l’origine du monde
Je viens de cette contrée qu’on appelle la Mauricie avec cette expression qu’on reconnaît
Comme ce lac St-Jean avec leur façon de parler si bien reconnu. Nous sommes bien confortables
Vous venez d’où? J’ai vue ce monde pour m’enrichir de sa beauté et des cultures qui y cohabite
Rentrer chez vous immigrants sans papier, rentrer dans vos demeures qui vous appartiennent
Tous immigrants d’un point de départ qui évolue comme la conscience qui se doit vouloir goûter
On peut bien se voir comme le nombril du monde et être une nation québécoise recluse de tout
Mais cette terre était celle des indiens qu’on a chassé pour s’y établir comme des conquérant
Nous sommes pauvre d’esprit qui rejette toute culture hors mi celle qui est le notre
Pourtant, on emprunte cette culture pour la façonner à notre image pour l’intégrée
Quel est ce pays si on enlève ces barrières imaginaires que l’homme impose par limitation
Question de l’identité, nous sommes une partie de chaque être rencontrés et affirmé de l’être
Tu viens d’où? De ma demeure qui est la connaissance de tout être qui se découvre par son chemin. Nous sommes un pays accueillant où que t’amène une richesse de ton cœur, de ton vécu, Nous venons d’où? Je viens de l’imaginaire qui me fait écrivain! Il vient de loin
Nous sommes tous immigrants si on change à chaque jour de paysage si on aime apprendre
J’ai fait ce voyage autour du monde pour m’imprimer de chaque culture qui demeure en moi
Mémoire d’un voyageur, mémoire de celui qui crie dans la rue (nation québécoise, nation sans
Immigrants exclusivité de partir) l’ouverture de l’esprit est la plus grande de toutes les richesses
Immigrés de son corps pour comprendre ce que nous somme, des êtres capables d’ouverture
La nation québécoise est un fait mais sans frontières pour croire qu’on est mieux
je viens de ce tableau et maintenant je suis ici pour apprendre, comprendre les nations
Le peuple est celui de la terre et il y a une très belle région qu’on appelle le Québec
Nous sommes tous immigrants du simple fait
Qu’on se déplace pour vois plus loin
Que nos yeux
NBD